L’économie : L’art d’accuser les autres ! - ARC®

Face au pouvoir des banques et du directeur de la BCE ancien banquier défenseur de l'Euro fort au risque de plier les économies européennes les politiques ont cédé et supprimé la taxe bancaire initialement prévue.

Notre site favori TRAZIBULE.fr vous ouvre les portes de la compréhension et de l'imaginaire en économie. Bien meilleur que les médicaments (bien mal en point en ce moment à force de vouloir faire de l'argent avant de vouloir soigner), la connaissance des grands schémas mondiaux peut apporter une aide aux populations et éviter les excès du système.

L'imaginaire de ce site, de son rédacteur et aussi des réponses que chacun peut apporter, sera l'un des éléments constructifs pour sauver l'économie financière, l'économie tout court et surtout l'économie des peuples du monde.

Il semble que ce soit elle qui soit oublié et que l'on veuille faire payer des pays, soit affamés, soit en faillite, soit en dictature, soit en révolution, et soit en dépression, en attendant des jours meilleurs.

Les actualités semblent tourner sur le principe de faire payer les autres (surtout lorsque l'on est puissant ou financier) et que l'on préfère faire payer les pauvres à la limite des rebellions et des révolutions de peuples. .

Voici ici reproduit quelques remarques et pistes de l'auteur du site trazibule.fr

Les remarques et suggestions sont à faire sur le site trazibule

Face à la crise grecque j’entends les économistes hésiter : c’est la faute des Grecs, y a qu’à trouver une solution pour emprunter et payer ou les jeter !

Et si c’était ailleurs qu’il faille chercher la solution ?

Quand il est perdu même le meilleur pilote demande son chemin au clochard. L’économie : L’art d’accuser les autres !

Quand une forêt est malade, on commence à voir des arbres perdre leurs branches. Faut être naïf pour croire qu’en éliminant les arbres malades, le reste de la forêt va se soigner spontanément ! Quand une forêt est malade certains arbres se mettent spontanément à produire beaucoup de fleurs et de fruits comme un réflexe de survie quitte à s’épuiser plus vite. Alors ces arbres « sains » prolifiques donnent l’illusion que la forêt sera sauvée, mais c’est un leurre.

Ce n’est pas en changeant des acteurs, qui décident de quoi, qui est accepté ou refusé dans une zone euro, ou même en harmonisant les politiques fiscales et sociales internes que le problème sera réglé. Regardez un peu autour de vous, l’Angleterre hors zone euro se porte-telle mieux ? Non il parait que c’est pire. Et les Etats-Unis ont-ils une politique monétaire saine, on ne sait même plus chiffrer précisément les milliards de dollars de leur dette !

L’écroulement des monnaies est ailleurs, comme pour l’exemple de la forêt la maladie des arbres est dans l’arbre d’accord, mais sa cause est dans le sol !

Sortir de l’euro, c’est comme abandonner un navire solide pour un petit canot de sauvetage dans un cyclone. Non il faut se battre pour changer la cause, pas s’engueuler sur les moyens d’en réduire des effets.

Alors j’ai envie de hurler ma colère contre ces gens qui se disent compétents et ne veulent surtout pas se rendre compte que ce sont leurs certitudes qui sont la cause du problème.

Ce ne sont pas des populations qui trichent ou des gestionnaires d’entreprises qui délocalisent, ou des gouvernements qui s’endettent, ce ne sont même pas les banques qui pillent des pays entiers, certaines de leurs bons droits. Il est si facile d’attaquer les autres, c’est la faute des Grecs, des banques, des gouvernements, des traders etc.…

Chacun d’entre eux joue le jeu que la monnaie leur permet. Comme dans une partie de poker, le plus malin ou le plus chanceux gagne. Certains font fortune d’autres se suicident. Et quand l’un d’entre eux a tout gagné la partie s’arrête. Game over ! Aujourd’hui nous assistons à la fin de la partie.

Comment voudriez-vous qu’il en aille autrement quand le principe absolu enseigné partout considère l’économie comme la recherche du rendement maximal, ce rendement mesuré par le seul propriétaire de l’entreprise.

Non l’économie devrait avant tout être la science de l’équilibre des échanges, seule garantie pour en assurer la pérennité. Cet équilibre interne à l’activité économique mesurant l’utilité sociale de l’entreprise et non son rendement financier pour les actionnaires.

Réfléchissez tout vient de là ! Cette appropriation illimitée du collectif par des individualités. C’est le cas de la monnaie.

La faute, la très grande faute, celle qui risque de nous amener à des émeutes, guerres civiles, conflits internationaux ou pires encore, celle qui conduit à massacrer la planète et affamer des peuples, c’est cette prétention égoïste qui du haut de sa tour d’ivoire s’est permis de construire une monnaie qui s’appuie précisément sur une aveugle confiance en cette prétention. Une monnaie fiduciaire qui exige que l’on fasse confiance précisément à ceux qui l’émettent.

Le peuple devient obligé de faire confiance au voleur, pour que sa monnaie garde sa valeur et puisse continuer à lui être volée.

La monnaie est le langage économique dont les peuples ont besoin pour commercer, pour communiquer, elle n’appartient pas aux économistes, ni aux banques, ni même à des gouvernements, elle appartient au peuple. Et comme les peuples du monde sont en relation étroite aujourd’hui, la monnaie est d’abord mondiale, elle appartient à tous.

Alors reconstruisons une monnaie vraiment populaire, démocratique, je ne suis pas savant, mais voici des pistes :

La première, pour moi la plus évidente :

Un étalon, commun à tous les hommes quel que soit le lieu ou l’époque : le temps ! C'est-à-dire ne plus mesurer un SMIC en Euros mais mesurer un euro en SMIC. Déjà là vous ne pourrez jamais avoir d’inflation. La monnaie a enfin une valeur stable et connue de tous, de quoi avoir confiance.

Le partage : une monnaie qui contient en elle même la solidarité sociale… Dont l’usage de fait aide les pauvres et prélève les riches.

Le choix, une logique monétaire qui autorise autant le droit à la paresse que le droit à la richesse sans que l’un ait l’impression de payer pour l’autre et que tous puissent vivre. Etc. Bon je n’ai pas le temps de continuer ici, tout est en chantier sur le site trazibule.fr, un nom ridicule pour des idées sérieuses (mieux vaut cela que le contraire)

Je suis même prêt à venir où vous voulez quand vous le voulez pour vous démontrer que d’autres aussi peuvent acquérir des certitudes, peut-être pas meilleures que les vôtres mais certainement différentes donc utiles au débat pour construire ensemble un meilleur monde. signé Alain Persat

trazibule.fr dialogues sociaux économiques...


Jean Francois Fournier - Ancien banquier


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