Si les banques ont durci leurs critères d'acceptation pour l'accord de crédit consommation, de crédit rachat de crédit, et de crédit immobilier pour les salariés, il en est de même, voir plus, pour les chefs d'entreprise, les gérants de société et les auto-entrepreneurs.
Depuis la crise financière l’œil bancaire est de plus en plus critique sur ce qui fait la force de l'entrepreneur, « l'envie d'entreprendre » mais aussi sa faiblesse « l'incertitude du résultat».
On reprochera à un responsable bancaire d'avoir fait un dossier à risque et non de n'avoir pas fait le dossier vainqueur.
1) L'étude des bilans.
Elle est confiée à un service spécialisé et attention si le chiffre d'affaires et le bénéfice, ont baissé sur les 3 dernières années (moyenne calculée sur 3 ans) alors réserve avec de nombreux exemples sur plusieurs banques.
2) L'édition du bilan. Les experts comptables ne sont pas toujours au courant des investissements personnels du gérant et ils ont tendance à favoriser la baisse fiscale au détriment de l'aspect bénéfice qui détermine une partie de l'accord de crédits d' investissements ou des financements personnels du dirigeant.
3) L'équilibre financier.
Des autofinancements en entreprise que le chef d'entreprise réalisera et qui laissent peu de place à des apports dans le cadre des financements immobiliers par exemple.
4) Les encours de prêts.
Les crédits personnels qui ont:
plombent les taux d'endettement empêchant parfois la réalisation de financement constructif et équilibré.
. Par [Jean-François Fournier]
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